Séraphine Nyiramugwera-Dantier, une dame rwandaise nait à Rukira, District de Ngoma, Province de l’Est, en 1947, dans la région du Gisaka. Véritable globe-trotteuse, elle parcourt le pays depuis sa plus tendre enfance, de la grande vadrouille – delà des mers.
Aujourd’hui, elle est de nationalité française. Elle vient souvent au Rwanda pour visiter son pays natal est songer au projet qu’elle peut initier dans son pays pour aider la population vulnérable, spécialement dans l’éducation.
Ce récit est destiné à tous les miens, en réponse à l’image idéalisée qu’ils ont de ma personne. Je rectifie et mets les choses dans leur contexte : ce que j’ai fait de bien dans ma vie, chaque acte, parole et pensée sensée… Tout le mérite doit revenir de droit à mon père, qui en est à l’origine.
Partant de là, il semble naturel et équitable que ce qui vient de lui puisse lui revenir sous forme de vibrant hommage posthume que je formule à travers ces lignes, sur lesquelles je fige sa mémoire, chante pour lui mon dernier hymne, et danse mon dernier ballet…
Je suis fière d’avoir répondu à ses attentes et ses espoirs en suivant son enseignement. Aujourd’hui, je vous raconte mon histoire qui, sans lui, n’existerait pas.
Vous trouverez dans ce livre au premier chapitre on parle de la parole à l’écriture du 23 Mars 2017 «la motivation de ce livre », deuxième chapitre de l’Appartenance à la conviction, troisième chapitre parle du Cœur prend la plume, quatrième chapitre parle de Rurama –Cité des Rois et de la Croix ; Cinquième chapitre parle le dos rond, sans ronrons. Le sixième chapitre du Gouvernance et la Croyance ; septième chapitre parle du Happys et Happys day ; huitième chapitre parle de Murama : Pas d’orgue, d’horloge, de clocher mais le Tambour.
Le neuvième chapitre parle sur le chemin de l’école en Septembre 1955 ; le dixième chapitre parle de la destitution et Reconstitution année 1959 ; onzième chapitre parle de Puiser l’eau : activité abhorrée ; douzième chapitre parle de l’abouler : de la fourche a la fourchette ; treizième chapitre parle de la maladroite un peu et malagauche beaucoup.
Le quatorzième chapitre parle à quand la tête n’en fait qu’à sa tête ; quinzième chapitre parle de Dons naturels Gisakiens : Vérités ou interprétations partisanes ; Seizième chapitre parle du Père, le socle des valeurs, semeur de la bonne graine ; Dix-septième chapitre parle de la scolarité, j’apprends, tu apprends, il…
Le dix-huitième chapitre parle de la zone de turbulences, dix-neuvième chapitre parle bougeotte a la grande vadrouille ; vingtième chapitre de la bougeotte de Septembre 1963, vingt-unième chapitre de la grande vadrouille de Septembre 1972 ; vingt-deuxième chapitre parle sur la route de Bunia ; vingt-troisième parle du baptême de l’air en avion ; vingt-quatrième chapitre parle de Lubumbashi en 1972-1979 ; vingt-cinquième chapitre un court chapitre qui parle de ne me soumets pas à la tentation ; Vingt-septième chapitre parle de sa vie a Kinshasa en Septembre 1979 ; chapitre vingt-huit c’est comme une prière qui parle de délivre-moi du mal ; vingt-neuvième de l’Etoile filante du 1er Janvier 1980.
Le trentième chapitre parle encore de l’Etoile filante II, trente-unième chapitre parle de l’Europe Septembre 1981 ; trente-deuxième chapitre parle de Terra nova, Terra incognito ; trente-troisième chapitre parle à la conquête des équivalences des diplômes français ; trente-quatrième chapitre parle du travail et enfin le trente-cinquième, qui est le dernier chapitre, parle de la course contre la montre.
